Du 2 au 7 avril 2018 au Château de Chimay
Masterclass animée par la soprano Christine Schweitzer et le pianiste Florent Lattuga-Duyck
C’est le premier Printemps des Voix au Château de Chimay!
De jeunes artistes lyriques participeront à une masterclass d’opéra animée par la soprano Christine Schweitzer et le pianiste Florent Lattuga.
Vous pourrez entendre notamment la soprano Olga Pitarch (Espagne) et la soprano Anaïs Calikman (France), la mezzo-soprano Ania Wozniak (Pologne) et la mezzo-soprano Dagmar Saskova (Tchéquie), ainsi que le ténor Xavier Flabat (Belgique).
Lors du concert qui aura lieu au Château le samedi 7 avril, à 19h30, ils vous interpréteront différents airs de Vivaldi, Mozart, Rossini, Donizetti et Verdi…mais aussi des duos et quelques autres surprises !
Venez nombreux pour fêter ces nouveaux talents !
TARIF :
28€ par personne / Sénior et – 25ans : 25€
Infos & réservations :
event@chateaudechimay.be – Tél : +32 60 21 45 31
Une Masterclass animée par :
Christine Schweitzer
La voix de soprano dramatique de Christine Schweitzer s’épanouit dans les rôles verdiens et wagnériens ainsi que dans le grand répertoire français. Fidèle héritière de l’art lyrique du maestro Gino Bechi, elle a également travaillé ses rôles romantiques italiens auprès de Leyla Gencer à la Scala de Milan.
Christine Schweitzer a débuté dans le rôle de la Grande Prêtresse d’Aïda sous la direction de Paul Ethuin et interprété à de nombreuses reprises le personnage de Giulietta des Contes d’Hoffmann, notamment au Théâtre de Besançon, à l’Opéra de Séville et à l’Opéra de Cordoue, ainsi que Stella à l’Opéra de Montpellier avec Richard Bonynge. Elle a chanté Musette de la Bohème avec Claude Schnitzler et la Dame de Lady dans le Macbeth de Verdi à l’Opéra de Metz.
Elle a incarné la Première Amie dans Silent Screams, Difficult Dreams d’Eugenius Knapik avec l’Orchestre Philharmonique de Varsovie, notamment à l’Opéra d’Anvers, et Toski-Ko dans La Confession Impudique de Bernard Cavanna au Théâtre des Amandiers à Nanterre. Elle a joué la Galeriste dans La Jeune fille au Livre, film-opéra d’André Bon et Jean-Louis Comolli, diffusé sur Arte. Parmi les oratorios, citons le Requiem de Verdi, notamment avec Bernard Tétu à Lyon, le Stabat Mater de Rossini avec Frédéric Chaslin, ou encore le Gloria de Poulenc, au Théâtre des Champs-Elysées, dans une production du Covent Garden de Londres.
Interprète d’Agathe du Freischütz de Weber à l’Opéra de Rouen, Christine Schweitzer connaît ensuite ses premiers engagements dans le répertoire wagnérien : Fille-fleur dans Parsifal au Théâtre des Arts de Rouen, Gerhilde dans La Walkyrie avec l’Orchestre Philharmonique d’Aquitaine sous la direction d’Alain Lombard à Bordeaux, puis Ortlinde de La Walkyrie à l’Opéra de Marseille avec Serge Baudo. Elle crée le rôle-titre dans Médée, opéra de Sergio Ortega, puis apparaît en récital dans le rôle d’Alisa de Lucia di Lammermoor aux côtés de Natalie Dessay au Théâtre des Champs-Elysées en 2005.
Soliste de l’ensemble Carpe Diem de 2006 à 2011, Christine Schweitzer a incarné Lady Macbeth (Macbeth) et Desdémone (Othello) dans une création réunissant la musique de Verdi et l’oeuvre cinématographique d’Orson Welles, puis chanté le rôle d’Isolde dans une transcription de Tristan et Isolde de Richard Wagner, notamment en décembre 2011 au Théâtre de l’Athénée à Paris, avec la participation de Lambert Wilson comme récitant. Un CD de cette transcription est paru chez INDEsens.
En 2014, elle se produit en récital à la Grange au Lac à Evian, dans un programme consacré aux opéras de Verdi et de Wagner, et elle sera la Princesse dans l’opéra de Béatrice Thiriet intitulé Jours Vénitiens, œuvre destinée à la scène et au cinéma en 3D. Avec le pianiste Julien Lepape, Christine Schweitzer propose actuellement un récital de musiques romantiques européennes en région Ile-de-France.
Parallèlement à sa carrière d’artiste, Christine Schweitzer mène une activité pédagogique de premier plan, d’une part en s’investissant auprès des jeunes professionnels et d’autre part en accompagnant la carrière de grands solistes internationaux comme Natalie Dessay (2002/2012), Leontina Vaduva, Deborah Maier et Tim Tobin. Elle est régulièrement invitée en masterclass par les Conservatoires Nationaux et de région, par Le Centre de Musique Baroque de Versailles et par le Gesangsinstitut de Vienne.
Florent Lattuga-Duyck
Florent Lattuga-Duyck commence sa formation pianistique à Provins, et y obtient rapidement un Prix d’Excellence de la région Ile-de-France. Il intègre la classe d’Adam Wibrowski au Conservatoire Hector Berlioz de Paris, puis celle de Bernard Job au CRD de Blois, où il obtient un DEM à l’unanimité en 2008.
En 2010, il rentre dans la classe de Ricardo Castro à la Haute Ecole de Musique de Lausanne avec lequel il obtient un Bachelor of Music en 2012, puis un Master d’Interprétation pour lequel il reçoit la note maximale, et le prix du meilleur récital de Master.
Enfin, il obtient en 2016 un Master d’Accompagnement, dans les classes de Béatrice Richoz, Todd Camburn et Marc Pantillon, pour lequel il obtient un prix pour l’excellence des résultats.
Il profite des conseils de grands pianistes en suivant les masterclass de Leon Fleisher, Lee Kum Sing Willem Latchoumia, Gergely Boganye, Dmitri Alexeev, mais aussi Helmut Deutch, Roger Vignoles et Martin Katz.
Lauréat de plusieurs concours internationaux, il se produit en soliste à la Bibliothèque Polonaise de Paris, à la Basilique Ste-Clothilde de Paris, à Blois pour l’association de promotion de jeunes solistes « Gerbert d’Aurillac », au Casino d’Evian, mais aussi à l’étranger, notamment au Portugal (Porto, Cortes de Cima), à l’aula de l’université de Fribourg, ou au Brésil où il interprète la Fantaisie-Chorale de Beethoven avec l’orchestre Neojiba. En 2014, il assure la création suisse du Concerto pour piano et Chœur no. 1 de Dimitri Tchesnokov.
Musicien engagé, il participe activement à l’association humanitaire «Perspectives Musicales », pour laquelle il réalise en 2009 un enregistrement de la 8e sonate de S. Prokofiev, et de la 5e sonate de A.Scriabine.
Eclectique, il étudie parallèlement le jazz, et forme le groupe « l’Ombre de ton chien » avec lequel il se produit régulièrement sur Paris notamment au Sunset ou au Café Universel, et participe au festival « les Lucarnes Azurées » en Slovénie, au cours duquel il joue pour la radio nationale.
Accompagnateur des soirées de cabaret parisiennes de l’association « Chansons de France », il coécrit un spectacle autour de Boris Vian «l’évadé Vian » qui se joue à Paris et en région Centre.
Comme accompagnateur, il travaille régulièrement avec C. Schweitzer, R. Bercier, et B. Balleys.
Engagé par la Haute école de musique de Lausanne, il accompagne les classes de B. Balleys et L. Vaduva pendant l’année 2016-2017, et accompagne l’atelier lyrique mis en scène par Thierry Pillon depuis 2016.
Récemment, il est choisi pour accompagner la masterclass de Patrick Messina lors de la journée suisse de la clarinette, et la masterclass de Luisa Castellani sur le Pierrot Lunaire d’A. Schoenberg.
De plus, il est l’accompagnateur permanent du Chœur Arsis à Fribourg (Dir. P.F. Roubaty) et du Chœur Pro Arte à Lausanne (Dir. P. Mayer).
Il s’est produit dans de nombreux festivals, notamment aux Schubertiades (organisées par la radio suisse Espace 2), Sérénades en Baronnies, Tounò, où encore les Art’Scènes (Nantes).
Lauréat de la prestigieuse bourse du cercle Richard Wagner de Suisse Romande, il est invité au festival de Bayreuth durant l’été 2015.
Les jeunes talents
Anaïs Calikman – Soprano
Née à Nice, Anaïs Calikman commence son parcours musical au Conservatoire de sa ville natale par des études de piano, puis de chant, dans la classe de Catherine Decaen.
En 2010, à l’âge de 17 ans, elle remporte le prix « Jeune Espoir » au Concours National de chant de Béziers.
La même année, elle est admise à la Haute Ecole de Musique de Genève. En 2013, elle poursuit ses études à Genève auprès de Nathalie Stutzmann, classe dans laquelle elle obtient un Master en interprétation et un Master de pédagogie.
Au cours de ses études, Anaïs a été récompensée par des bourses d’études suisses telles que Sigg et Mosetti. A Genève, elle a eu l’occasion de travailler avec des chefs tels que Edo de Waart, Emmanuel Krivine, Michel Corboz, etc., ainsi que de faire partie du chœur du Grand Théâtre de Genève.
Anaïs se produit régulièrement en concert, notamment avec la harpiste Claire Janicaud.
Ania Wozniak – Mezzo-soprano
Mezzo-soprano d’origine polonaise, Ania Wozniak obtient sa Licence en Musicologie à l’Université de Paris VIII. Elle commence sa formation vocale avec Mariette Jost et actuellement se perfectionne auprès de Christine Schweitzer à Paris. Ania fait partie de l’agence Peter Borchers à Hambourg.
Elle incarne le rôle-titre de Carmen ainsi que Lola dans Cavelleria Rusticana au Festival Nebrodi in Canto en Sicile. Elle est également Dorabella et la 2ème dame dans Die Zauberflöte de Mozart à l’Opéra d’Oradea en Roumanie sous la baguette de Julian Smith et Costanza dans l’Isola disabitata de Haydn au Palais Medici Riccardi. Elle se produit en récital à l’Académie des Beaux-Arts à Florence ainsi qu’au Sébastopol de Lille, à l’Athénée Wresinski à Bordeaux et au Théâtre de Laval où elle est d’ores et déjà réinvitée pour un récital des mélodies de Chopin.
En France, Ania interprète Diane dans Iphigénie en Tauride, Mercedes dans Carmen dirigée par Jean- Michel Ferran et Flora dans La Traviata sous la direction de Frédéric Rouillon au Pin Galant de Mérignac et au Théâtre de Saumur mais c’est dans le répertoire rossinien qu’elle se distingue en chantant Rosina dans le Barbier de Séville à Bordeaux Mérignac sous la direction de Richard Boudahram et Tisbé dans Cenerentola de la compagnie VivOpera sous la direction de Marc Hajjar. Elle est également Mallika dans Lakmé au Foyer du Théâtre du Châtelet.
Quelques rôles d’opérette complètent son parcours scénique : Czipra dans Le Baron Tzigane de Strauss au Festival d’Opérette d’Ath, La Baronne dans La Vie Parisienne et Mariana dans Gipsy au Théâtre de Nice ou encore au Théâtre d’Enghien les Bains. Elle est également Gariné de l’opéra bouffe éponyme de D. Tchouhadjian au Théâtre du Gymnase et au Théâtre des Bouffes du Nord.
Ania Wozniak est régulièrement invitée par le chef Stanislas Pavilek et a chanté les parties solistes du Requiem et de la Messe du couronnement de Mozart, The ways of Zion do mourn, F.Handel et du Te deum de M. A. Charpentier. Elle reprend également le Requiem de Mozart sous la baguette de Julian Smith à la Philharmonie d’Oradea.
Ania participe à la création de Rekviem. Adapté du roman Requiem de Terezin de Josef Bor sur la musique du Requiem de Verdi, ce spectacle est joué notamment à l’Amphithéâtre de l’Opéra Bastille et une reprise est prévue pour la saison 2018.
Dagmar Saskova – Mezzo-soprano
Née en République Tchèque, Dagmar Saskova débute ses études de musique et de chant à l’Université de Bohème Occidentale à Pilsen, et elle continue au CNSM de Brno. En 2008, elle obtient son diplôme de chant baroque au Centre de Musique Baroque de Versailles. Depuis 2010 elle travaille le répertoire de bel canto avec Christine Schweitzer.
Dagmar Saskova a également participé aux enregistrements des Grands Motets de Pierre Robert et Les Histoires Sacrées de Marc Antoine Charpentier sous la direction d´Olivier Schneebeli, des Cantates et Sonates de Friedrich Buxtehude avec le Concert brisé (William Dongois), L´air italien au temps de Louis XIII et Arie da cantarsi de Stefano Landi avec Il Festino (Manuel de Grange). En 2015, elle apparaît sur un disque Concert royal de la Nuit avec l’ensemble Les Correspondances (Sébastien Daucè) et Natale in Italia avec l’ensemble La Fenice (Jean Tubéry). Récemment, Dagmar Saskova a enregistré l’ensemble Il Festino Les airs de cours de Sébastien Le Camus et Michel Lambert et les Grands motets de Delalande avec l`ensemble Le Poème harmonique (Vincent Dumestre).
En 2010, elle a interprété le rôle de Corisande dans l’opéra Amadis de Lully, une coproduction du Centre de musique baroque de Versailles et du Théâtre d’Avignon. En 2011, elle s’est produite dans l’opéra L’Egisto de Mazzochi et Marazzolli (direction Jérôme Correas). En 2011, elle a incarné le rôle d’Apollo dans l’opéra Terpsicore de George Friedrich Haendel avec Musica Florea (Marek Stryncl) et en 2013 Melanto dans le Retour d’Ulysse de Claudio Monteverdi (Jérôme Correas). En 2014, Dagmar Saskova a incarné le rôle titre dans Didon et Enée de Henry Purcell en concert à Lyon et à Uzès avec l’ensemble La Fenice (Jean Tubéry). En 2016, nous pouvions la voir à l’Arsenal de Metz et à l’Opéra de Reims comme La Musica et La Messagiera dans l’Orfeo de Monteverdi avec l’ensemble Akadêmia (Françoise Lasserre). Elle est partie en tournée avec Les Histoires sacrées de Charpentier en Corée du Sud avec le Centre de musique baroque de Versailles.
Récemment au Konzerthaus de Vienne, Dagmar Saskova a incarné 5 rôles dans l’Europe Galante de Campra avec La Simphonie du Marais (Hugo Reyne).
En 2019, elle sera Aurora dans Il Mondo alla roversa de Baldassare Galuppi à l’Opéra de Reims, d’Avignon et à l’Opéra de Massy sous la direction de Françoise Lasserre.
Olga Pitarch – Soprano
Réalise ses études musicales au Conservatoire Supérieur de Musique de Valencia (E), où elle est diplômée de Piano et de Chant, puis à la Musikhochschule de Vienne (A). Elle se produit en soliste dans des concerts d’oratorio (« Messe en ut mineur » de W. A. Mozart, « Résurrection » et « Messie » de Haendel, « Le Roi David » de A. Honegger…) ainsi que dans des productions d’opéra : «Le couronnement de Poppée » et « L’Orfeo » de C. Monteverdi ; « Una cosa rara »de V. Martin y Soler ; «Eco e Narciso »de D. Scarlatti, « Orlando » de N.Porpora , sous la baguette de de C. Rousset, A. Zedda, J. C. Malgoire, E. López-Banzo, J.B. Otero, G. Garrido y W. Christie, au Festival d’Aix-en-Provence, Teatro Real à Madrid , Théatre des Champs Elysées à Paris, Concertgebouw à Amsterdam, Royal Albert Hall à Londres, Theater an der Wien entre autres.
Sa prédilection pour la musique baroque lui permet de collaborer avec différents ensembles: Al ayre español, Estil Concertant, Orquesta Barroca de Sevilla y Real Compañía Ópera de Cámara, ainsi que Le Parlement de Musique, Elyma, La Grande Ecurie et la Chambre du Roy , Faenza, Akademia, Accentus Austria, La Fenice et Les Arts Florissants.
Par ailleurs elle a participé à des créations de musique contemporaine avec Les Jeunes Solistes (R. Safir) et avec Les musiques de la Boulangère (N. Frize). Elle a également collaboré avec la compagnie de théâtre « Toujours après minuit » (B. Seth et R. Montlló-Guverna) dans leurs créations « L’Entrevue » et « Le Bal ».
Elle enseigne le chant depuis 2010 à l’école de musique du Chesnay, et a animé différents stages et interventions pédagogiques dans le cadre de résidences artistiques dans l’espace Louis Jouvet à Rethel (Ardennes), dans l’Ecole Départementale de Théatre du 91 (EDT-91), dans le Centre de Perfectionnement Plácido Domingo de Valencia (Espagne), et avec le Conservatoire et l’Opéra de Rennes.
Xavier Flabat – Ténor
Il commence sa formation vocale au Conservatoire de Lille. Il suit ensuite l’enseignement de Christine Solhosse et de Thierry Dran qui devient son agent artistique. Actuellement, Xavier se perfectionne auprès de la soprano Christine Schweitzer à Paris.
Sollicité par les scènes belges, il incarne le Prince Charmant dans Cendrillon de Pauline Viardot à l’Opéra Royal de Wallonie, qui sera repris en Wallonie en octobre 2018, et l’un des trois ténors solistes dans l’œuvre contemporaine Three Tales de Steeve Reich pour la Monnaie de Bruxelles.
Il est Don Alonze de L’Amant jaloux d’A-M Grétry aux Festivals de Lasne et de Spa, Vogelsang dans Der Schauspieldirektor et le Poète du Prima la musica e poi le parole de Salieri au Festival de l’été Mosan avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Bernard Delire. On a également pu l’entendre dans Ferrando dans Cosi fan tutte pour l’Opéra de Clermont-Ferrand sous la baguette d’Amaury du Closel et il fut Peppe dans Rita de Donizetti au Théâtre de Nice sous la direction de Bruno Membrey à l’été 2017.
Passionné par le répertoire français, il campe un Faust très apprécié avec l’orchestre Carpe Diem et recrée le rôle du contrebandier Scopetto dans La Sirène d’Auber au Théâtre Impérial de Compiègne en 2018 dans lequel il est salué, tant pour l’étendue de sa voix que pour la richesse de son jeu.
C’est le rôle du chevalier Des Grieux dans Manon de Massenet qui sera son prochain rendez-vous, en avril 2018, dans une mise en scène de Paul-Emile Fourny et sous la direction de Philippe Gérard, au Palais des Beaux-Arts de Charleroi.
Il interprète également le cycle de mélodies On Wenlock Edge de Ralph Vaughan Williams au Festival de Musique Européen et se produit en tant que premier ténor dans les Sept paroles du Christ en Croix de César Franck au Val-de-Grâce de Paris ainsi qu’au PBA de Charleroi sous la direction de Bart Bouckaert qui l’invite à se produire sous peu dans le Requiem de Von Suppé à Nantes, Charleroi et Liège.
Son goût pour l’opérette l’amène à suivre l’enseignement de grands artistes tels que Jacques Taylès et Michel Ferrer et à chanter les rôles de jeunes premiers parmi lesquels Pâris dans La Belle Hélène, le Prince Sou-Chong dans Le Pays du sourire, ou encore Gontran dans Les Mousquetaires au Couvent qu’il chante notamment au Sébastopol de Lille, au Palais des Beaux-Arts de Charleroi ou au Pin Galant de Merignac.